
1 – Covid, une maladie grave ?
> La plupart des personnes porteuses du virus sont asymptomatiques : la personne entre en contact avec le virus, son système immunitaire se défend et la personne s’immunise naturellement et durablement sans que la personne ne s’en aperçoive (asymptomatique signifie AUCUN SYMPTÔME = pas malade).
> Dans certains cas, les personnes porteuses du virus développent des symptômes : fièvres, toux, perte du goût, perte de l’odorat. Toute apparition d’un de ces symptômes nécessite une prise en charge médicale par traitement : le COVID se soigne.
> Dans moins de 1% des cas symptomatiques, on constate des formes graves si le malade n’a pas été traité dès l’apparition des premiers symptômes (comme on le ferait en cas de grippe, gastro-entérite, bronchite…).
Les personnes à risques sont :
– Adultes de plus de 65 ans
– Personnes avec comorbidités (obésité, diabète, troubles respiratoires, dialysés, greffés…)
Ce sont celles qui doivent être prioritairement protégées par un diagnostic précoce et une prise en charge médicale efficace (traitement).

Etre COVID+ ne signifie pas être malade : la plupart des personnes positives resteront asymptomatiques et ne tomberont jamais malades. Au contraire, elles développeront une immunité naturelle et durable. Il faut par contre surveiller et traiter les personnes qui vont développer les symptômes et peut-être, développer des formes graves.
De nombreuses personnes sont mortes car elles n’ont pas été soignées : elles ont été isolées avec une boite de Panadol. Le Paracétamol (Doliprane, Panadol, Efferalgan…) n’est pas un médicament curatif mais un anti-pyrétique : il coupe la fièvre, qui est par ailleurs l’un des premier réflexe naturel du corps pour se soigner lui-même…
2 – Des tests PCR faussés
Non contents de laisser les personnes symptomatiques sans réels soins, les gouvernements et les médias ont orchestrés une pandémie de « cas positifs » (comprenant des personnes asymptomatiques et des personnes malades) dépistés grâce à des tests PCR.
Ceux-ci sont complètement faussés :
✅ Kary Mullis, l’inventeur du test PCR, explique les limites du Polymerase Chain Reaction (PCR) technique. Ce sont des tests qualitatifs (Oui ou Non) et non quantitatifs :
Les tests RT-PCR fournissent une réponse binaire (positive ou négative) à la question de savoir si un patient a été en contact avec le virus, ou pas. Il ne donne aucune indication sur les symptômes, c’est-à-dire qu’ils ne déterminent pas si la personne est malade ou non.
Les tests PCR dont le cycle amplificatoire est supérieur à Ct35+ entraînent 97% de résultats « faux positifs » :
Etude « External peer review of the RTPCR test to detect SARS-CoV-2 reveals 10 major scientific flaws at the molecular and methodological level: consequences for false positive results. » : https://cormandrostenreview.com/report/

A Maurice, les tests PCR subissent un cycle d’amplification Ct40 :

Cela signifie que plus de 97% des cas sont des cas « faux positifs ».
✅ LA NON FIABILITE DES TESTS PCR EST RECONNUE JURIDIQUEMENT (Cour d’Appel de Lisbonne, Portugal)
✅ LES TESTS PCR SONT DANGEREUX (risques d’infection et de méningites)
3 – L’ivermectine, un traitement efficace et sûr contre le COVID19
L’Ivermectine s’est révélée efficace parmi d’autres traitements, dont l’Hydroxychloroquine. Des protocoles fiables ont été établis par de nombreux médecins internationaux.
A Maurice, dès juillet 2021, nous avons élaboré un traitement avec la collaboration de médecins français, réunionnais et sud africains. Nous avons guéris plus de 3500 personnes symptomatiques. Parmi elles, TOUTES ont été soignées (zéro décès).
✅ L’Ivermectine reçoit le Prix Nobel 2015 (source ici)
✅ L’efficacité de l’Ivermectine est reconnue dès Novembre 2021 (source ici)
✅ L’Ivermectine utilisée en Inde avec succès comme traitement COVID par la Haute Cour de Bombay (source ici).
✅ Ivermectine obliterates 97% of Delhi cases / Juin 2021 (source ici).
✅ The effect of early treatment with ivermectin on viral load / Janvier 2021 :
« The positive signal found in this pilot warrants the conduction of larger trials using ivermectin for the early treatment of COVID-19. Such trials should include patients with risk factors for severe disease as well as patients with pneumonia. The potential for a mechanism of action different to direct antiviral effect also opens the door for pre-exposure prophylaxis in high-risk groups. » Etude complète ici

Nous demandons l’accès à l’ivermectine pour tous : hôpitaux, dispensaires et cliniques privées.
Nous avons soigné plus de 3500 personnes à Maurice. 100% de taux de guérison. 0 décès.
4 – Vaccins expérimentaux, efficacité, risques et effets secondaires : rien qui ne justifie l’obligation vaccinale !
TOUS les vaccins COVID sont des vaccins expérimentaux : ils bénéficient uniquement d’autorisation de mise sur le marché conditionnelles et temporaires (EUL). Cela signifie qu’il n’y a aucun recul sur la sécurité de ces substances : les essais cliniques ne sont pas terminés. Pour comprendre ce qu’est une AMM conditionnelle (EUL), lire l’éclairage du Dr Catherine FRADE au 30/03/2021 :
4a – De nombreuses alertes
Dès janvier 2021, médecins, chercheurs et généticiens dénoncent les risques sur ces injections expérimentales :
🔥Le scientifique belge Geert Vanden Bossche alerte sur l’Evasion immunitaire virale (ou ADE) : si la vaccination ne protège pas des variants, les fait-elle émerger ?
« Lorsque vous vaccinez une population alors même qu’elle est en train de subir une épidémie très intense, ce que vous faites, c’est que vous interdisez à tous les variants les moins offensifs de subsister, et celles qui étaient plus robustes finissent par être les seules à survivre.
– Dans un premier temps, vous avez une baisse significative des cas, puisque la plupart des variantes (pour lesquelles les vaccins ont été développés) s’éteignent petit à petit.
– Néanmoins, toutes les mutations qui sont plus résistantes aux vaccins survivent et commence à se reproduire, devenant inévitablement les souches dominantes.
– La vaccination en pleine pandémie impose au virus un processus sélectif plus intense, ce qui est un potentiel danger. »
Le scientifique belge Geert Vanden Bossche a été le premier à tirer la sonnette d’alarme, suivi d’autres de ses collègues. De nombreux membres de la communauté scientifique ont accusé Vanden Bossche d’être un dangereux conspirationniste. Pourtant, il s’agit d’un virologue reconnu et un expert vaccinal qui a toujours été en faveur de la vaccination.
🔥Le rapport intermédiaire Sinopham (mars 2021) fait état de 24.4 reporting rate/100 000 doses. En comparaison, le vaccin BCG cause 1 reporting rate/1 000 000 doses.


🔥Dès le 11/06/21, des médecins anglais alertent et demandent l’arrêt immédiat des vaccinations : « URGENT / British report calls for complete cessation of COVID vaccines in humans » (lire ici)
Texte du 11/06/2021 :
An “urgent preliminary report of Yellow Card data” issued by the UK-based Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd submitted to the Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency (MHRA) states that “the MHRA now has more than enough evidence on the Yellow Card system to declare the COVID-19 vaccines unsafe for use in humans.”
Similar to the U.S. Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS), the MHRA describes the purpose of its Yellow Card system as providing “an early warning that the safety of a medicine or a medical device may require further investigation.”
The report, signed by Evidence-based Medicine Consultancy Ltd and EbMC Squared CiC Director Dr. Tess Lawrie (MBBCh, PhD), says: “we have searched the Yellow Card reports using pathology-specific key words to group the data according to the following five [sic] broad, clinically relevant categories:
- Bleeding, Clotting and Ischaemic ADRs
- Immune System ADRs
- ‘Pain’ ADRs
- Neurological ADRs
- ADRs involving loss of Sight, Hearing, Speech or Smell
- Pregnancy ADRs”
The report goes on to say: “We are aware of the limitations of pharmacovigilance data and understand that information on reported Adverse Drug Reactions should not be interpreted as meaning that the medicine in question generally causes the observed effect or is unsafe to use. We are sharing this preliminary report due to the urgent need to communicate information that should lead to cessation of the vaccination roll out while a full investigation is conducted. According to the recent paper by Seneff and Nigh, potential acute and long-term pathologies include:
- Pathogenic priming, multisystem inflammatory disease and autoimmunity
- Allergic reactions and anaphylaxis
- Antibody dependent enhancement
- Activation of latent viral infections
- Neurodegeneration and prion diseases
- Emergence of novel variants of SARSCoV2
- Integration of the spike protein gene into the human DNA
“It is now apparent that these products in the blood stream are toxic to humans. An immediate halt to the vaccination programme is required whilst a full and independent safety analysis is undertaken to investigate the full extent of the harms, which the UK Yellow Card data suggest include thromboembolism, multisystem inflammatory disease, immune suppression, autoimmunity and anaphylaxis, as well as Antibody Dependent Enhancement (ADE).”
The report concludes: “The MHRA now has more than enough evidence on the Yellow Card system to declare the COVID-19 vaccines unsafe for use in humans. Preparation should be made to scale up humanitarian efforts to assist those harmed by the COVID-19 vaccines and to anticipate and ameliorate medium to longer term effects. As the mechanism for harms from the vaccines appears to be similar to COVID-19 itself, this includes engaging with numerous international doctors and scientists with expertise in successfully treating COVID-19.«
“There are at least 3 urgent questions that need to be answered by the MHRA:
- How many people have died within 28 days of vaccination?
- How many people have been hospitalised within 28 days of vaccination?
- How many people have been disabled by the vaccination?”
🔥Le 17/06/21, des chercheurs anglais alertent eux aussi le gouvernement britannique :
« Vaccines Produce ‘Toxic’ Effects, British Researchers Call On Govt. To Halt Use Immediately » – June 17, 2021
🔥Au 25/06/2021, la FDA fait ajouter le risque accru de myocardite et péricardite après la vaccination Moderna et Pfizer…
Malgré ces alertes sérieuses, la vaccination obligatoire est maintenue à Maurice et dans de nombreux pays… Pourquoi ?
#dabordnepasnuire
4b – Mai 2021 : les chiffres apparaissent…
Partout dans le monde (sauf à Maurice), dès le mois de mai 2021, les rapports de pharmacovigilance enregistrent les accidents liés aux injections :
🔥France : Rapports ANSM dès Mai 2021
L’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) publie ses rapports hebdomadaires avec synthèse et faits de pharmacovigilance.
Surveillance pour la période 14/05/2021-20/05/2021 : voir l’article
(télécharger le dossier « Consulter la synthèse des résultats et les faits marquants »)






🔥UK : Rapport Yellow Card au 02/06/2021 : 1296 décès liés aux vaccins.

🔥Liste des effets secondaires reportés pour le vaccin AstraZeneca au UK au 09/06/2021 :

🔥Balance bénéfices/risques de la vaccination expérimentale :
> Le 24 juin 2021, l’étude « The safety of Covid19 vaccinations – We should rethink the policy » par Walach/Klement/Aukema sur les bénéfices/risques de la vaccination a été publiée (lien ici). L’étude met en contexte le fait que les vaccins covid-19 ont fait l’objet d’examens accélérés, sans données de sécurité suffisantes.
> Les chercheurs ont calculé le nombre de personnes à vacciner nécessaires afin d’éviter un décès (NNTV), à partir d’une étude de terrain israélienne.
> Après avoir accédé à la base de données des réactions indésirables aux médicaments (ADR) de l’Agence européenne du médicament et du registre national néerlandais (lareb.nl), ils ont extrait le nombre de cas présentant des effets secondaires graves et le nombre de cas ayant des effets secondaires mortels.
> Le résultat est sans appel, notamment pour le vaccin à ARNm commercialisé par Pfizer : Pour éviter un cas covid-19, le nombre de personnes nécessaires à vacciner (NNTV) se situe entre 200 et 700,
Pour prévenir un décès, le NNTV se situe entre 9 000 et 50 000, avec intervalle de confiance à 95 %, avec 16 000 comme estimation la plus probable.
Le nombre de cas ayant subi des effets indésirables est de 700 pour 100 000 vaccinations et 16 effets secondaires graves pour 100 000 vaccinations.
Le nombre d’effets secondaires mortels est de 4,11/100 000 vaccinations.
Les auteurs concluent que pour 3 décès évités par la vaccination, nous devons en accepter 2 infligés par la vaccination.
> « Background: COVID-19 vaccines have had expedited reviews without sufficient safety data. We wanted to compare risks and benefits. Method: We calculated the number needed to vaccinate (NNTV) from a large Israeli field study to prevent one death. We accessed the Adverse Drug Reactions (ADR) database of the European Medicines Agency and of the Dutch National Register (lareb.nl) to extract the number of cases reporting severe side effects and the number of cases with fatal side effects. Result: The NNTV is between 200–700 to prevent one case of COVID-19 for the mRNA vaccine marketed by Pfizer, while the NNTV to prevent one death is between 9000 and 50,000 (95% confidence interval), with 16,000 as a point estimate. The number of cases experiencing adverse reactions has been reported to be 700 per 100,000 vaccinations. Currently, we see 16 serious side effects per 100,000 vaccinations, and the number of fatal side effects is at 4.11/100,000 vaccinations. For three deaths prevented by vaccination we have to accept two inflicted by vaccination. Conclusions: This lack of clear benefit should cause governments to rethink their vaccination policy. »
🔥Données UNION EUROPEENNE : l’AME (Agence du Médicament Européenne) ou EMA (European Medicines Agency) publie les statistiques quotidiennes des reports d’effets secondaires. Surveillance pour les vaccins COVID19 : voir les chiffres
(aller à la lettre « C » et chercher « COVID » dans la liste proposée)
COVID-19 MRNA VACCINE MODERNA (CX-024414)


COVID-19 MRNA VACCINE PFIZER-BIONTECH (TOZINAMERAN)


COVID-19 VACCINE ASTRAZENECA (CHADOX1 NCOV-19)


4c – A Maurice, silence et barbarie
🔥Données ILE MAURICE : nous n’avons aucune donnée publique de pharmacovigilance.
A savoir : si après la vaccination, vous souffrez d’effets secondaires, vous devez les rapporter à l’hôpital public. Une fiche AFEI doit vous être remise ! Photographiez-la ou demandez une copie !


En l’absence de données officielles, un Monkey Survey a été mis en place par l’équipe My Body My Choice My Voice. Les données sont collectées de façon anonyme et sont compilées régulièrement.
NOUS réclamons des données publiques sur les effets secondaires des vaccins injectés à maurice.
Article « L’Express.mu » du 9 juin 2021 :

Covid-19 – vaccins: quels effets sur les règles ?
Après leur seconde dose de vaccin contre le Covid-19, plusieurs Mauriciennes ont noté des anomalies au niveau de leurs règles. Avec l’obligation de vaccination pour le personnel de l’Education et de la Santé, plusieurs femmes se questionnent sur leur fertilité, à l’exemple de Maya, une trentenaire, vaccinée au Covaxin en mars et avril. «Je n’ai jamais eu autant de douleurs. Celles-ci étaient concentrées au ventre et étaient si fortes que je ne pouvais plus me lever», constate la jeune femme, qui est formatrice. Ces anomalies se sont étalées sur plusieurs jours. Idem pour Emma, la trentaine, et Jena, 28 ans.
«Mes règles étaient décalées d’une quinzaine de jours. J’avais des bouffées de chaleur, nausées et douleurs d’une intensité de 7 sur 10. Pourtant, d’habitude, je ne ressens même pas de douleurs», explique cette dernière. L’enseignante indique aussi que la durée était de trois jours uniquement. N’ayant jamais connu de tels symptômes lors de cycles précédents, Jena s’interroge sur l’impact du vaccin. De son côté, Emma a ressenti des douleurs atroces de la tête aux pieds ainsi qu’une grosse fatigue avant et pendant ses règles. Sophie, 25 ans, a aussi eu des douleurs et un retard de ses règles après sa première dose en mars et la deuxième en avril. «J’ai eu des douleurs insupportables au niveau du bassin et des jambes et mes règles ont coulé de manière anormale. Elles s’arrêtaient et recommençaient après un jour.»
Qu’est-ce qui explique cela ? Selon un gynécologue obstétricien, qui a voulu garder l’anonymat, des douleurs musculaires sont tout à fait normales, mais pour les retards, entre autres, il dit ne pas pouvoir se prononcer car il ne connaît pas l’état de santé de chaque patiente. «Tous les vaccins donnent des douleurs musculaires. C’est normal que ces femmes ressentent des douleurs lors de leurs règles après les doses de vaccin. Toutefois, si cela persiste, il leur faut consulter un médecin.»
De son côté, le Dr Laurent Musango, représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), suggère aux Mauriciennes ayant ressenti ces effets menstruels d’en informer le comité de vaccination. «Il y a une unité de pharmacovigilance qui donne les rapports aux producteurs des vaccins et à l’OMS. Si c’est quelque chose qui n’a pas été constaté dans les essais cliniques, ce sera pris en considération. Pour l’instant, par rapport à nos données existantes, rien n’est lié à la menstruation des femmes», nous a-t-il déclaré.
Par ailleurs, quand la campagne de vaccination au Covaxin a débuté à Maurice, on avait dit à de nombreuses femmes (des internautes qui ont pris contact avec nous), de ne pas tomber enceinte dans les six mois suivant la première et la deuxième dose du vaccin. Est-ce parce que le vaccin affecte la fertilité ? La Dr Catherine Gaud, conseillère au ministère de la Santé, affirme : «Même si on a formé les médecins, lorsqu’ils ont administré le Covaxin, ils ont beaucoup parlé de leurs propres réserves aux patientes, alors qu’à l’heure actuelle il est prouvé que le vaccin ne fait rien aux femmes qui veulent avoir des enfants.»
L’Express / 9 Juin 2021 / https://www.lexpress.mu/article/394942/covid-19-vaccins-quels-effets-sur-regles
Quelques témoignages :







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